Assistants virtuels : quel devenir pour les relations sociales ?

Avoir quelqu’un qui nous attend à la maison satisfait une des principales attentes des êtres sociaux que nous sommes. Mais lorsque ce quelqu’un est une intelligence artificielle incarnée dans un personnage de manga qu’en est il des relations sociales ? Quels rapports entretenir avec  nos assistants virtuels ?

Gatebox est une société qui développe un dispositif proposant d’interagir avec une personnage de manga. Les interactions sont de plusieurs natures : Il est possible de parler directement à une boite contenant un personnage animé en trois dimensions. Le personnage répond en parlant et en prenant des pauses et des expressions corporelles. Il est également possible d’échanger par le biais de messages électroniques comme avec les assistants électroniques modernes tel que Siri ou autre. De plus, le dispositif Gatebox tente d’anticiper les souhaits de l’utilisateur en proposant des informations et des actions a réaliser. Dans la vidéo de présentation, le personnage animé invite son interlocuteur a se munir d’un parapluie car le risque de pluie est probable.

Si ce n’était que cela, il n’y aurait pas vraiment de nouvelles questions. Cependant dans la vidéo de présentation, l’utilisateur semble développer des sentiments pour l’assistant électronique ! Alors oui, c’est une vidéo promotionnelle. Mais cela n’enlève rien au fait que ce soit un argument de  vente du produit : “vous allez aimer nos produits”. Oui, mais aimer comment ?

J’ai lu quelque part qu’un grand nombre d’utilisateurs, a priori des hommes, avaient des discussions à caractère explicite avec leur assistant électronique. J’ai lu ailleurs que dans quelques années de nombreuse personnes disposeraient de “robot sexuel”. Et j’ai lu il y à fort fort longtemps le tome 1 de Fondation par Isaac Asimov où les individus vivent seuls chez eux assisté par un robot et évitent les relations sociales. Asimov n’aborde pas ou peu la problématique sexuelle, mais bien celle de robots totalement humanoïdes.

Dans le cas de Gatebox, le positionnement est bien celui là. Dans la vidéo de présentation, on accompagne un homme qui n’a pas de relation sociale bien qu’il soit au milieu d’autres personnes. Ses interactions se bornent à communiquer avec l’être virtuel dans la boite.

Ma question n’est pas celle de savoir si ces assistants virtuels sont souhaitables ou non. Cette question est déjà réglée ! Ils existent et ils seront adoptés, très certainement. Ma question est de savoir comment faire pour que ces assistants deviennent des vecteurs de relations sociales, comment les utiliser pour réunir les personnes plutôt que de les maintenir dans une bulle.

Je ne dispose pas de réponse a priori, mais je vous pose la question :

Que faut-il ajouter comme fonctions à ces assistants pour en faire des vecteurs de relations sociales ?

La vidéo de présentation

Medianoia pour de meilleurs media

Du fact checking et des petites erreures !

Nous avons les media que nous méritons. le site medianoia.fr vise à améliorer la qualité générale de l’information. Humblement…

L’idée de medianoia est de fournir a chacun la possibilité de corriger ou de commenter le travail des media. Depuis la personne au plus près de l’information, en mesure de corriger les détails. Jusqu’à la personne avec le plus de recul, capable de critiquer, de façon constructive, le point de vue ou l’orientation d’un article.

Medianoia ce veut être une initiative collaborative, ouverte, offrant a chacun la possibilité de critiquer de façon constructive le travail et des media et de venir compléter son information en multipliant les points de vue.

Glocal

Une démarche de développement durable particulièrement simple Glocal.fr
Think global act local que l’on peu traduire en Français par
Penser Globalement Agir Localement

Il me semble que c’est une des meilleures façons d’envisager les actions que nous réalisons au jour le jour. Sans adopter nécessairement un comportement militant, nous pouvons pour chacun de nos actes, tenter d’en comprendre le portée en nous demandant ce qu’il adviendrait si chaque humain faisait la même chose.

Cela nous permet d’interroger notre comportement, nos habitudes de consommation et même nos choix politiques.

Tamina

La Tamina, une recette très simple pour un délice sucrè en 10 minutes.

De la semoule de blé moyenne, du beurre, du miel et un peu de canelle.

Faire chauffer le miel et le beurre dans un casserole, ne pas faire bouillir.

Faire dorer la semoule dans une poêle jusqu’à ce quelle blondisse.

Verser la semoule en pluie dans le mélange beurre miel.

Homogénéiser jusqu’à obtenir une pâte moelleuse.

Verser dans un plat légèrement creux,

Décorez avec de la poudre de cannelle.

Petite variante, certain ajoute une pincée de muscade avant de verser la semoule.

A déguster encore chaude, tiède ou froide avec du café ou du thé. Attention, c’est un peu sucré

Pour une assiette de tamina, 150 gramme de semoule moyenne, environ 100 grammes de miel et 50 gramme de beurre. pour ceux qui aiment, une pincée de noix de muscade. de la poudre de cannelle pour décorer.

Choisir un thème

Que voila un titre à double sens ! Pour la plupart d’entre nous choisir un thème consiste à déterminer de quoi l’on va deviser. Mais pour l’administrateur de blog, choisir un thème est en fait l’opération qui consiste à définir l’aspect de son espace.

Certain web designer ont la capacité à construire un thème : concevoir l’ensemble des formes et des interactions mises en œuvre sue le site. Certain vont rester au milieu du gués : prendre un thème léger existant et le compléter avec quelques mises en forme.

Pour ma part, simple développeur, je ne vais pas me risquer à modifier la forme de cet espace. Je vais me borner a choisir le thème le plus simple et un minimum esthétique que je puisse trouver…

Mais déjà cette tâche n’est pas une mince affaire ! Des thèmes graphiques, il en existe par milliers, tous avec des options dont certaines sont payantes et dont d’autres ne fonctionnent qu’approximativement.

Il suffit de cliquer sur le bouton “ajouter” de l’espace de gestion des thèmes de WordPress pour ce rendre compte de l’étendu du choix (ceci se trouve dans la partie “apparence”). Pour une personne un peu indécise, cette avalanche de thème est une torture.

Donc, point de précipitation, il faut en essayer plusieurs. Voir les spécificité de chacun et comment ils répondent au besoin de votre site. Il faut également mesurer leur degrés d’évolutivité.

Bien sur il existe d’autres sources de thème, qui augmente encore la complexité du choix. Et pour l’instant je n’ai évoqué que les thèmes offert gracieusement. Il en existe aussi de payant, qui proposent encore plus de souplesse ou de fonctionnalités.