La musique : du vinyle au streaming

Du vinyl aux plateformes en ligne, le support de diffusion audio a connu de nombreux changements au travers des années. En 2007, le marché français représentait 700 millions d’euros, dont 90% de cette production était matérialisée (CD, cassettes…).  Depuis 10 ans, l’industrie musicale connaît un renouveau avec l’apparition de la dématérialisation du contenu. Actuellement, le marché se partage à hauteur de 50% entre les supports matérialisés et dématérialisés.

Une diffusion variant pour un contenu atemporel

Sully Prudhomme, artiste et poète, affirme que “La musique double la vie”. La musique persiste à travers les âges tout en évoluant selon les mouvements artistiques. L’écrivain démontre par cette brève intervention lintemporalité de la musique.

Nous connaissons une aire ou les genres musicaux se multiplient et co-existent permettant ainsi à lindustrie musicale de subsister. Fondamentalement la musique demeurera un des multimédias le plus emprunté. Pourtant seule sa diffusion connaît des variantes. Le marché numérique de la musique s’est multiplié par 4 en moins de 10 ans. diminuant ainsi la part du marché physique. Le marché physique représente malgré tout 59% des recettes de la musique en 2016.

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Les réseaux sociaux, mon corps et moi

Beaucoup de personnes se demandent si les réseaux sociaux sont une bonne chose. Si le but ne serait pas de faire croire à une vie parfaite. Le plus souvent, les adolescents sont influencés par les réseaux sociaux et les influenceurs. Comment accepter son corps malgré ces tendances ? Je vous raconte mon histoire.

Mon rapport avec mon corps

Comme beaucoup de personnes, je ne suis pas vraiment en adéquation avec mon corps. Je suis en surpoids. Avant cette prise de poids, j’étais une adolescente confiante. Cela a vite changé, notamment à cause des réseaux sociaux. Je suis donc passée d’une fille ayant confiance en elle, à une femme très peu sûre d’elle. Pour entrer dans la vie adulte voila qui n’est pas idéal.  

J’ai commencé à me sentir seule puis à me laisser persécuter. Malheureusement certaines personnes mal-intentionnées en ont profité.

S’accepter comme on est, c’est très dur. Pour les personnes pour lesquelles ce n’est pas le cas, le plus dur c’est de trouver la force de changer. Ainsi quand l’esprit est en phase avec le corps, on peut commencer à évoluer.

Les réseaux sociaux, mes meilleurs ennemis

Comment les réseaux sociaux ont joué sur ma perte de confiance ? Quand on navigue sur les réseaux, on se retrouve souvent face à des photos parfaites. C’est à dire des corps mis en valeurs, dans un contexte idéal. Et souvent le point commun entre ces photos, ce sont les corps maigres et musclés. Vous voyez de quoi je parle ? Les mannequins qu’on déteste sur les magazines, on les retrouve partout !

Alors quand on ne se plait pas et que l’on manque de confiance, ce n’est pas agréable à voir. Je vous explique mon point de vue dans ces moment là : pour moi c’était voir la personne que j’aimerais être et par la même occasion détester celle que je suis.

Et je ne suis pas la seule, ce n’est finalement pas que mon histoire !

Les réseaux sociaux, mes meilleurs amis

Après m’être longtemps détestée, il c’est passé quelque chose. Cela à changer ma façons de voir le quotidien. Sur facebook j’ai découvert un groupe de soutien pour les personnes suivant un rééquilibrage alimentaire. On n’est forcé en rien, on peut être là et observer ou bien participer.

Ce que ça a changé pour moi, c’est de me rendre compte que je ne suis pas la seule. Que d’autres personnes aimeraient perdre du poids mais qui ont aussi du mal à démarrer. Ce groupe permet de s’entraider et de ne pas être jugé. Principalement grâce aux témoignages, j’ai compris que si mon corps ne me plaisait pas, il ne tenait qu’à moi de changer ça. Et surtout que c’était possible de retrouver confiance en soi avec de la persévérance.

Les réseaux sociaux peuvent être perçus comme de pièges se refermant sur nous. Mais je pense que si sur ce sujet, le fait de voir ce genre de profils nous blessent, alors le problème ne vient ni des personnes sur les photos, ni des réseaux sociaux. Il vient peut être de notre façons de nous voir nous même. De plus si l’on pense que ces personnes sont parfaites demandez-vous pourquoi font-elles ce genre de post ? Pour vous persuader que leur vie est parfaite ou pour se persuader elle-même ?

Sommes-nous prêts pour la cyberguerre ?

Tout au long de l’histoire, la guerre a été influencée par les technologies qui nous entourent. La propagation de la technologie numérique a exposé  les sociétés à l’attaque numérique. Dans cette nouvelle ère de technologie, internet a donc considérablement modifié la nature des conflits entre grandes nations, avec notamment ce que nous appelons la cyberguerre. Le cyberespace est devenu le cinquième domaine de la guerre, après la terre, la mer, l’air et l’espace.
cyberguerre

La cyberguerre, une arme redoutable

Notre société moderne est de plus en plus dépendante des systèmes informatiques liés à Internet, donnant aux ennemis plein d’angles d’attaque.  Les cibles ne manquent pas : centrales, raffineries, banques… Les cyber-armes utilisées sont la plupart du temps des logiciels malveillants. Ceux ci  peuvent agir longtemps sans être repérés ou bien frapper d’une attaque éclair. Une cyberattaque peut aller d’une tentative individuelle à une action majeure, coordonnée. Si bien réalisée, l’origine d’une cyberattaque peut être anonyme. Ce danger inconnu et multiple inspire la méfiance. Il en résulte une course aux cyber-armes entre les grandes puissances. En France, le ministre de la Défense a mis sur pied une cyber-armée placée sous l’autorité d’un commandement spécifique.

La cyberguerre est récente, en effet la première attaque documentée a eu lieu en 2007. L’Estonie a subi une attaque de déni de service distribué (DDOS) qui a abattu des serveurs gouvernementaux essentiels et d’autres infrastructures nationales. Le coupable présumé est la Russie, mais comme expliqué plus haut, il est difficile de retracer l’origine d’une attaque. Depuis, les cyberattaques deviennent de plus en plus courantes et les pays luttent pour y faire face.

La question de la cybersécurité

Les cyber-armes sont développées secrètement. Et ce, sans discussion sur la façon et le moment où elles pourraient être utilisées. Personne ne connait leur véritable degré de destruction. Alors les pays doivent se préparer au pire. Les grands pays devraient commencer à trouver une façon de réduire la menace de cyberguerre. Afin de limiter les attaques avant qu’il ne soit trop tard.
Il y a donc un vrai problème de coordination entre les pays pour essayer d’encadrer cette nouvelle forme de guerre secrète. L’OTAN discute de la mesure dans laquelle elle devrait considérer la cyberguerre comme une forme d’attaque armée qui obligerait ses membres à venir en aide à un allié.  Mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir.

Il y a donc une vraie prise de conscience à réaliser sur notre dépendance à la technologie et les risques qu’elle comporte. Ce danger invisible doit être encadré, car il n’est pas près disparaitre. Et cela pourrait rendre notre monde un peu plus sûr.

Crédit photo © [Christiaan Colen] / Flickr

Achats en ligne, reconnaître les sites non-fiables

De plus en plus de personnes effectuent leurs achats en ligne. Vêtements, jeux vidéo, applications,… Mais ce procédé est-il sécurisé sur n’importe quel site en ligne ? Nous allons essayer de dresser une liste non-exhaustive des moyens de différencier les bons sites d’achats en ligne des sites dangereux.
Internet, un moyen ludique, pratique et rapide pour effectuer ses achats mais gare aux arnaques !

Différencier un site d’achats en ligne sécurisé d’un site dangereux

De nombreux moyens sont bons pour vérifier la fiabilité d’un site Web concernant les achats en ligne. Nous allons vous donner quelques astuces assez simples pour que vous puissiez effectuer vos achats en toute sécurité !

En effet, il faut savoir que les sites Web ont des « conditions d’utilisation » à respecter et particulièrement les sites de ventes avec des « conditions générales de ventes ». Normalement situées en bas de page, elles donnent des renseignements concernant les prix, la livraison, la provenance des produits, etc… De même, le commerçant d’un site de vente en ligne doit faire figurer des mentions légales sur son site Internet. C’est une obligation en France, un site de vente n’en ayant pas est donc illégal.

Les sites fiables, en général, ont, au moment de la transaction, une URL qui commencent par ‘’https://’’, le “s” définissant que le paiement est sécurisé. Celle-ci est visible dans la barre d’adresse de votre navigateur. Un site affichant cette partie d’URL n’est pas forcément fiable, même s’il y a plus de chances. Au contraire, un site ne l’affichant pas est forcément à considérer comme non-fiable.

Les sites sérieux ne contiennent aucune faute de français. Ce qui veut dire qu’un site truffé de fautes ne mérite pas qu’on s’attarde dessus. Il faut également faire attention à la présentation du site. Lorsque des caractères utilisés sont non reconnus, que des textes débordent ou que des images sont très mal ajustées il est clair que le site n’est pas fiable.

Gare également aux sites proposant des réductions alléchantes ! Très souvent les sites non sérieux ont des réductions de 60% et ce n’est pas un hasard parce qu’avec ce système, ils descendent sous la barre des 50% de réduction, mais n’atteignent pas les 70% pour ne pas éveiller les soupçons.

Définition de “Achat en ligne” : http://www.ecommercemag.fr/Definitions-Glossaire/Achat-en-ligne-245282.htm#5xPkipgTAm6Oi1RL.97 

L’influence du numérique sur l’art

generatif

L’art, ses influences

L’art évolue continuellement. Il change en fonction de son auteur, mais aussi de son époque, des mouvements de pensées et des évolutions scientifiques et technologiques.

L’invention du microscope et du télescope, par exemple, ont beaucoup influencés l’homme. Il se rend alors compte de l’infiniment grand et de l’infiniment petit, ce qui tourne en dérision son existence et le renvoi à une sorte d’insignifiance. Les artistes s’emparent de ces ressentis et les expriment au travers de leurs créations. C’est ainsi que nous obtenons des tableaux de vanités et de mises en abîmes comme «Les Ménines» de Velasquez ou encore «Vanité» de Philippe de Champaigne. L’arrivée des ordinateurs et du numérique a aussi révolutionné le monde de l’art.

L’art digital, génératif

L’invention de l’ordinateur:

L’ordinateur a révolutionné les moyens d’information et de communication. De plus, Il a énormément influencé notre vie quotidienne et notre société. De ce fait les artistes n’ont pas attendu pour s’approprier ce nouvel outil prometteur. Ainsi, l’ordinateur permet de nous plonger dans une illusion du réel, en modifiant la réalité.

Les machines artistes :

Georg Nees a réalisé ses premières créations à l’aide de la machine Zuse Graphomat Z64, une machine de dessins automatisés de haute précision. Par ailleurs, A. Michael Noll est l’un des pionniers de la représentation graphique en 3 dimensions. Enfin, la hongroise Vera Molnár a mis en œuvre les prémices de l’art optique et cinétique. Ces artistes sont les précurseurs de l’art numérique auparavant appelé art informatique. Leurs démarches, intègrent mathématiques et sciences exactes aux procédés artistiques. Elles peuvent être considérées comme étant à l’origine d’un renversement de la création artistique vers l’informatique et l’automatisation. Le processus consiste à créer des oeuvres originales et inédites en utilisant la programmation et l’automatisation via l’informatique.  Les règles sont le centre de la création, mais c’est l’humain qui rédige ces règles, tant mises en avant par l’art génératif.

Quelques artistes :

L’artiste Jared Tarbell, qui est très connu, dit de l’un de ses travaux : « Les lignes, tels des cristaux, se développent par un substrat de calcul. Une simple règle de croissance perpendiculaire crée des structures complexes qui ressemblent à des villes. » Il utilise des programmes et leurs algorithmes mathématiques pour générer des oeuvres d’art. Une fois le programme lancé, il conçoit une oeuvre d’art en mouvement. Celui-ci ne donne jamais le même résultat. Vous pouvez découvrir ce travail ainsi que biens d’autres dans sa galerie ici : http://www.complexification.net/gallery/machines/substrate/index.php

Golan Levin est concepteur et réalisateur d’oeuvres originales. Il parle de l’un de ses travaux : «Les images produites par l’auto-adhérence sont développées à partir d’un processus de rétroaction dans lequel des milliers de petits éléments sont mutuellement attirés par leurs voisins les plus proches.» : http://www.flong.com/projects/self-adherence/

Le chercheur Thomas Kräftner a fait de l’art génératif son sujet de thèse. Il a développé le logiciel Coded beauty qui génère des images originales et colorées : http://codedbeauty.kraftner.com/?lang=en#Demo

Les artistes du digital ne s’arrêtent pas là et mettent parfois leurs compétences au service de différent domaines tels que la danse. En 2014,  Mourad Merzouki, Adrien Mondot et Claire Bardainne créent PIXEL.  Un spectacle de danse poétique où les danseurs se mêlent au virtuel. Découvrez ce superbe spectacle : https://www.youtube.com/watch?v=z_Hu57QTqqE

Medianoia pour de meilleurs media

Du fact checking et des petites erreures !

Nous avons les media que nous méritons. le site medianoia.fr vise à améliorer la qualité générale de l’information. Humblement…

L’idée de medianoia est de fournir a chacun la possibilité de corriger ou de commenter le travail des media. Depuis la personne au plus près de l’information, en mesure de corriger les détails. Jusqu’à la personne avec le plus de recul, capable de critiquer, de façon constructive, le point de vue ou l’orientation d’un article.

Medianoia ce veut être une initiative collaborative, ouverte, offrant a chacun la possibilité de critiquer de façon constructive le travail et des media et de venir compléter son information en multipliant les points de vue.

Choisir un thème

Que voila un titre à double sens ! Pour la plupart d’entre nous choisir un thème consiste à déterminer de quoi l’on va deviser. Mais pour l’administrateur de blog, choisir un thème est en fait l’opération qui consiste à définir l’aspect de son espace.

Certain web designer ont la capacité à construire un thème : concevoir l’ensemble des formes et des interactions mises en œuvre sue le site. Certain vont rester au milieu du gués : prendre un thème léger existant et le compléter avec quelques mises en forme.

Pour ma part, simple développeur, je ne vais pas me risquer à modifier la forme de cet espace. Je vais me borner a choisir le thème le plus simple et un minimum esthétique que je puisse trouver…

Mais déjà cette tâche n’est pas une mince affaire ! Des thèmes graphiques, il en existe par milliers, tous avec des options dont certaines sont payantes et dont d’autres ne fonctionnent qu’approximativement.

Il suffit de cliquer sur le bouton “ajouter” de l’espace de gestion des thèmes de WordPress pour ce rendre compte de l’étendu du choix (ceci se trouve dans la partie “apparence”). Pour une personne un peu indécise, cette avalanche de thème est une torture.

Donc, point de précipitation, il faut en essayer plusieurs. Voir les spécificité de chacun et comment ils répondent au besoin de votre site. Il faut également mesurer leur degrés d’évolutivité.

Bien sur il existe d’autres sources de thème, qui augmente encore la complexité du choix. Et pour l’instant je n’ai évoqué que les thèmes offert gracieusement. Il en existe aussi de payant, qui proposent encore plus de souplesse ou de fonctionnalités.