Comment Netflix utilise l’hyper-personnalisation pour vous garder

L’objectif de Netflix ? Augmenter le temps de visionnage de ses vidéos. Afin de produire à moindre coût du contenu pour ses utilisateurs, l’entreprise utilise les données de ceux-ci. Cela va ainsi décider des démarches à suivre au niveau du scénario, de la production ou du marketing pour produire un contenu selon les préférences des utilisateurs. Comment cela s’appelle-t-il ? L’hyper-personnalisation.

L’hyper-personnalisation, l’arme secrète de Netflix

La notion d’hyper-personnalisation est apparue courant 2010 et n’a cessé d’évoluer. Présentée comme “l’avenir du marketing”, celle-ci désigne l’utilisation des données et du comportement des utilisateurs pour concevoir des expériences personnalisées. À terme, cela a pour but de créer ou renforcer une relation consommateur-marque.

Netflix utilise ces données afin de définir les contenus à produire. L’entreprise est capable de de déterminer par exemple quel abonné a regardé quelle série, à quel moment. De la même manière, elle peut voir quand l’utilisateur a arrêter de regarder. Cela permet de distinguer les moments où la série perd l’attention de l’abonné, des moments où il est tenu en haleine.

Nous avons beaucoup de données qui indiquent quels sont les intérêts de nos membres. Cela nous aide à identifier les domaines d’intérêt, car nos [utilisateurs] nous disent le type de choses qu’ils souhaitent regarder par la fréquence à laquelle ils appuyent sur le bouton de lecture.disait Cindy Holland, vice-présidente des contenus originaux Netflix.

L’hyper-personnalisation dans la conception de série : l’exemple de Stranger Things

C’est de cette façon qu’à été conçu Stranger Things, lancée à l’été 2016. Netflix s’est penchée sur ses utilisateurs de type famille et jeunes adultes. Ils en ont conclu plusieurs choses : les contenus des années 80 rencontraient un franc succès. Ensuite, la télévision ne proposait pas de contenu approprié à ces préférences. Enfin, les personnes ne trouvaient pas de contenu qui pouvait être visionné en famille. En conséquence, les équipes Netflix ont proposé de mettre en ligne des épisodes de 7 à la maison. Ils ont ensuite conçu Stranger Things, qui en est à sa troisième saison.

Une interface personnalisées pour l’utilisateur

Lorsqu’on veut choisir un contenu à visionner, l’interface propose des films par rangée. Chaque rangée est composée de plusieurs miniatures des différents films ou séries. Alors qu’au début, Netflix utilisait les affiches officielles, il y a maintenant des vignettes différentes choisies en fonction des préférences de l’abonné. Les designers graphiques de Netflix créent donc plusieurs vignettes qui correspondent chacune à un segment des abonnés.

Les rangées de films ne sont pas choisies au hasard non plus. Par exemple, un amateur de films d’action va se voir proposer une rangée “Action”. Mais au fur et à mesure, on rentre dans des rangées de plus en plus spécifiques et ciblées. On pourra avoir des catégories comme “Documentaires spirituels”, “Comédies musicales sur le destin des stars” ou encore “En eaux profondes”.  On peut retrouver l’ensemble des différents genres créés par Netflix sur le site The Daily Dot.

Jusqu’où ira la personnalisation ?

L’algorithme Netflix est sans cesse affiné, afin de pouvoir récupérer des données toujours plus précises. C’est dans le cadre de ce travail d’affinage que des utilisateurs se sont retrouvés à visionner une bande-annonce pour un autre programme Netflix, entre deux épisodes. Même si ce test était censé être bénéfique pour l’abonné (” Nous essayons de savoir si ces recommandations entre les épisodes peuvent permettre aux membres de découvrir des histoires qu’ils apprécieront rapidement. ” a communiqué Netflix), cela soulève une question : peut-on considérer certaines manoeuvres comme intrusives ?

Un autre problème se dresse au niveau de la diversification des contenus. En créant un contenu toujours plus personnalisé, les abonnés risquent de toujours se retrouver avec les mêmes types. L’utilisateur, face à ses propres choix, aura donc du contenu indéfiniment. Le but d’augmenter le temps de visionnage est acquis pour Netflix, mais qu’en est-il de la diversité pour l’utilisateur ?

Pour 2019, le budget contenus de Netflix  serait de à 10 milliards d’euros ; de quoi s’interroger sur les prochains types de contenus produits basés sur les habitudes des abonnés.

Le Bitcoin, Une monnaie révolutionnaire ?

Tout au long de l’histoire, l’humanité a utilisé dans la plupart de ses transactions commerciales ce qu’on appelle la devise ou la monnaie physique, ceci jusqu’à l’année 2009 où un gars inconnu nommé « SATOSHI NAKAMOTO » a décidé de créer pour la première fois une monnaie virtuelle qui sera utilisée uniquement sur internet sans avoir d’aspect physique dans le monde réel. C’est le Bitcoin !

Huit ans maintenant depuis sa création, la valeur de bitcoin a été multiplié par 15 en 2017 pour atteindre des niveaux record en fin d’année (1 Bitcoin = +17,000$).

Pourquoi le Bitcoin ?

Une grande partie des internautes aujourd’hui préfère utiliser le bitcoin dans leurs transactions monétaires pour plusieurs raisons :

  • Il n’y a pas de médiation entre les concessionnaires, c’est-à-dire si un acteur souhaite transférer l’argent à un autre acteur, le transfert s’effectue directement sans l’intervention d’un tiers comme la banque centrale par exemple. Cette opération s’appelle Peer to Peer en informatique, qui rend le contrôle judiciaire sur une telle monnaie une tâche impossible, et les coûts supplémentaires de transmission ne seront pas appliqués sur de telles opérations.
  • L’utilisation du bitcoin élimine la conversion des devises entre les pays par exemple si un bien coûte 1 bitcoin au Etats-Unis il coûtera 1 bitcoin en Europe sans se soucier du taux de change entre le dollar et l’euro et vice versa.
  • La production du bitcoin n’est contrôlée par aucune entité bancaire ou judiciaire, et suit un système clair et strict dans sa création connu par tous les acteurs qui utilisent cette devise.
  • Le bitcoin ne peut être contrefait car le système qui gère cette monnaie virtuelle rend la contrefaçon ou le piratage informatique très difficile, par exemple, il est presque impossible qu’un internaute envoie à un autre une somme d’argent qui n’existe pas sur le système.

Qu’est ce que la Blockchain ?

Lorsqu’on parle du bitcoin on évoque souvent un concept un peu mystique, la blockchain qui permettrait de faire beaucoup de chose.

En permettant la distribution d’informations numériques mais non copiées, la technologie blockchain a créé le point de départ d’un nouveau type d’internet. Initialement conçu pour la monnaie numérique, Bitcoin.

Pour faire court on peut rassembler une Blockchain à un grand livre de comptes, se composant de plusieurs blocs (des milliers de blocs en fait…), chaque bloc décrit à peu près 2300 opérations d’achat et vente en bitcoin entre les commerçants, cette opération est décrite sous la forme « Le 01/08/2009 à 16h : Alice paie 250€ à Bob ». NB : 1 bloc = 1Mb.

La blockchain du bitcoin est publique tout le monde peut y accéder, vous pouvez même télécharger votre propre copie de la Blockchain en téléchargeant par exemple le logiciel officiel BitcoinCore, ou bien vous pouvez simplement la parcourir d’une façon plus visuelle et claire sur le site blockchain.info.

Enfin vous devez savoir que les opérations de transaction entre les internautes ne sont pas directement ajoutées dans la blockchain, il y’a des agents dédiés pour ça qu’on appelle les « Bitcoin Minners » qui prennent en charge la tâche d’inscrire des nouveaux blocs dans la blockchain, à chaque bloc nouvellement créé le Bitcoin-Minner reçoit des bitcoins nouvellement créés pour lui. Cette opération est la seule façon possible pour créer des nouveaux bitcoins.

La tâche d’ajout d’un nouveau bloc dans la blockchain n’est pas du tout facile comme vous pouvez l’imaginer, car pour ajouter un nouveau bloc, le bitcoin-minner doit trouver un code d’accès très complexe qui lui permettra d’inscrire les nouvelles opérations, cela nécessite la résolution de milliers d’algorithmes et d’opérations de calcul.

Alors, avez vous envie de plonger dans le monde du Bitcoin ?!

La suprématie du lobby LGBT sur Twitter

bubbles, icon, twitterIl paraîtrait qu’en 2019, il existe 4 types d’utilisateurs sur Twitter : les personnes lambda, les adolescents, les journalistes/professionnels du web et les personnalités (politiques notamment). Ça, c’est la face fancy de ce réseau social. Permettez-moi de vous présenter sa face sombre : la communauté LGBTQI+. Cet acronyme signifie “lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer, intersexes et plus encore”. Il représente toutes les minorités de genre ou sexuelles. Continue reading “La suprématie du lobby LGBT sur Twitter”

Twitter, outil d’une révolution numérique ?

twitter revolution numerique

Twitter se démarque des autres réseaux sociaux pour ce qui est de s’informer, de vérifier, et de se faire entendre.

On constate, Outre-Atlantique, que Donald Trump fait l’objet de nombreuses contestations. Ceci dans la rue, mais aussi et surtout sur le réseau social, après notamment avoir fait passé des décrets pouvant sembler anti-démocratiques.

Un comble pour celui qui fait de cet outil son moyen de communication préféré.

Twitter, un outil sans barrière

Nombreuses sont les personnes à utiliser cet outil afin de se faire entendre auprès des responsables politiques.

Il faut dire que le réseau social est un des seuls outils permettant de dialoguer avec des stars, des politiques, des hauts-dirigeants directement. Des personnes qui étaient auparavant inaccessibles.

Donald Trump, 45ème président des États-Unis, privilégie lui-même cet outil de communication. Et certains dirigeants d’autres pays commencent à l’utiliser pour lui répondre.

Twitter est aussi une arme redoutable pour faire passer son message auprès d’un plus grand public, et donc de convaincre et de faire agir plus de gens. Il suffit, par exemple, de bien utiliser les hashtags.

Ces tweets de protestation peuvent aller du message simple, à la caricature, en passant par le détournement d’événements ou des photos, comme savent si bien faire les Twittos.

L’information en direct

Et si la réaction se fait rapidement sur Twitter, c’est que l’information elle aussi a été diffusée rapidement ! Et là encore, le réseau social se montre d’une grande efficacité : plus besoin d’attendre, on cherche l’information à la source. Des tweets sont mis en avant sur la page d’accueil de twitter, et un simple abonnement aux comptes appropriés, comme Le Monde, Le Figaro, Libération, Le Parisien… permet un accès à l’actualité immédiat.

Vérification des faits

Twitter permet également de diffuser les vérifications des propos tenus par une personne politique. Une interview écrite, une interview vidéo, comme celle de Pénélope Fillon, des faits, des enquêtes, des statistiques, peuvent servir à prouver que des propos tenus sont faux. Cette méthode est nommée le fact checking. Elle a été utilisée, entre autres, pour vérifier les propos de Donald Trump.

Dans une période que l’on qualifie de post-vérité, cette méthode permet de placer la vérité comme élément indispensable à tout propos tenu. Et peut se révéler très dangereuse pour qui l’utiliserait mal.

S’informer, vérifier, protester. Trois actes permettant d’avoir sa propre opinion, et d’agir selon ses valeurs. Et Twitter permet de faire tout cela plus simplement et rapidement que jamais.

Twitter serait-il donc l’outil d’une Révolution numérique ?

Fluffle Puff : son arrivée dans le monde des Bronies

Le 30 juin 2013, le mème Pink Fluffy Unicorn Dancing On Rainbows (PFUDOR) apparaît sur la chaîne Youtube de FluffyMixer. Pour le bonheur de la communauté brony, le petit poney Fluffle Puff est mis en scène à travers une animation sur un fond musical d’Andrew Huang. Le mème comptabilise presque 4 fois plus de vues que la chanson originale. En quoi est dû cet élan de popularité ?

Le cas de Fluffle Puff

Fluffle Puff est une création de Mixermike622. Ce poney est inspiré de l’univers de « My little Pony Friendship Is Magic ». Elle fait partie de la race fictive des Fluffy Ponies (poneys moelleux). On le reconnait à son doux pelage rose particulièrement bien fourni et à son trait de caractère : gentille, généreuse et enfantine. D’autres poneys apparaissent dans la vidéo. On retrouve des personnages principaux tels que Twilight Sparkle, Rainbow Dash, AppleJack, Pinkie Pie, Fluttershy, Rarity, Princesse Celestia, Reine Chrysalis…

La musique d’Andrew Huang est joyeuse, avec une intonation légère. Elle est terriblement facile à retenir et scande : « Pink Fluffly Unicorns dancing on rainbows ». FluffyMixer marie cela avec une animation radieuse et redoutablement mignonne pour un Bronie. C’est avec un sourire étincelant et une expression de gaieté profonde que Fluffle Puff danse sur un arc-en-ciel. Après seulement 18 secondes de chant, la bande son demande ce qu’on a retenu de la vidéo : la couleur de la corne est rose, le poney danse sur un arc-en-ciel. Les caractéristiques clés d’un mème se rejoignent. La légende de Fluffle Puff en tant que « Pink Fluffly Unicorn » est assurée. Elle est aujourd’hui la Fluffle Pony la plus célèbre.

La cible principale est donc la communauté des Bronies (brother + pony). Elle voit le jour au début de l’année 2011 sur le célèbre site américain 4chan. Elle en résulte de l’engouement généré par le nouveau dessin animé « My Little Pony ». En effet, un débat centré sur le potentiel de la série explose. Cette déferlante de postes n’est pas restée indifférente. Ainsi dans un premier temps les modérateurs ont bannis les comptes et les sujets traitant de « poney ». Mais il existe aujourd’hui une page spéciale pony réservée aux membres de cette communauté.

Qu’est-ce qu’un mème ?

Le mème joue un rôle important dans la pop culture web. D’après la définition de Wikipédia, il s’agit d’un « élément d’une culture ou d’un ensemble de comportements qui se transmet d’un individu à l’autre par imitation ou par un autre moyen non-génétique ». C’est pourquoi le nom de ce phénomène est issu de « mimesis » qui veut dire « imitation » en grec ancien.

Memes nyan cat

Ce phénomène existait déjà avant l’arrivée d’internet. On peut citer comme exemple le célèbre graffiti « Killroy was here », popularisé dans les années 1940. Cette inscription a été retrouvée dans différents pays, mais avec des noms différents.

Un mème peut prendre plusieurs formes. Il peut s’agir d’une image (doge), d’un gif (Nyan Cat), d’une catchphrase (« Haters gonna hate »). Il peut être issu d’une séquence d’un film (« You shall not pass », Lord of the ring) ou comme ici, d’une vidéo. Un bon mème doit être court, facile à retenir et novateur dans son concept.

Et vous, connaissez-vous d’autres mèmes issus de la culture Brony ?

Sommes-nous prêts pour la cyberguerre ?

Tout au long de l’histoire, la guerre a été influencée par les technologies qui nous entourent. La propagation de la technologie numérique a exposé  les sociétés à l’attaque numérique. Dans cette nouvelle ère de technologie, internet a donc considérablement modifié la nature des conflits entre grandes nations, avec notamment ce que nous appelons la cyberguerre. Le cyberespace est devenu le cinquième domaine de la guerre, après la terre, la mer, l’air et l’espace.
cyberguerre

La cyberguerre, une arme redoutable

Notre société moderne est de plus en plus dépendante des systèmes informatiques liés à Internet, donnant aux ennemis plein d’angles d’attaque.  Les cibles ne manquent pas : centrales, raffineries, banques… Les cyber-armes utilisées sont la plupart du temps des logiciels malveillants. Ceux ci  peuvent agir longtemps sans être repérés ou bien frapper d’une attaque éclair. Une cyberattaque peut aller d’une tentative individuelle à une action majeure, coordonnée. Si bien réalisée, l’origine d’une cyberattaque peut être anonyme. Ce danger inconnu et multiple inspire la méfiance. Il en résulte une course aux cyber-armes entre les grandes puissances. En France, le ministre de la Défense a mis sur pied une cyber-armée placée sous l’autorité d’un commandement spécifique.

La cyberguerre est récente, en effet la première attaque documentée a eu lieu en 2007. L’Estonie a subi une attaque de déni de service distribué (DDOS) qui a abattu des serveurs gouvernementaux essentiels et d’autres infrastructures nationales. Le coupable présumé est la Russie, mais comme expliqué plus haut, il est difficile de retracer l’origine d’une attaque. Depuis, les cyberattaques deviennent de plus en plus courantes et les pays luttent pour y faire face.

La question de la cybersécurité

Les cyber-armes sont développées secrètement. Et ce, sans discussion sur la façon et le moment où elles pourraient être utilisées. Personne ne connait leur véritable degré de destruction. Alors les pays doivent se préparer au pire. Les grands pays devraient commencer à trouver une façon de réduire la menace de cyberguerre. Afin de limiter les attaques avant qu’il ne soit trop tard.
Il y a donc un vrai problème de coordination entre les pays pour essayer d’encadrer cette nouvelle forme de guerre secrète. L’OTAN discute de la mesure dans laquelle elle devrait considérer la cyberguerre comme une forme d’attaque armée qui obligerait ses membres à venir en aide à un allié.  Mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir.

Il y a donc une vraie prise de conscience à réaliser sur notre dépendance à la technologie et les risques qu’elle comporte. Ce danger invisible doit être encadré, car il n’est pas près disparaitre. Et cela pourrait rendre notre monde un peu plus sûr.

Crédit photo © [Christiaan Colen] / Flickr

MMI et la Saison Numérique #2 du département du doubs

Du 8 janvier au 17 janvier 2018 le département du Doubs organise la deuxième saison numérique SN#2 dans le cadre de C@P25. De la danse, de la musique, du théâtre, partout dans le Doubs : Montbéliard, Besançon, Morteau, beaucoup d’autres et jusque dans les villages et même au département MMI.

La saison numérique est l’occasion de diffusion, de rencontre et d’échange à destination du publique en général mais aussi de publiques particuliers. Ainsi la saison numérique passera par le pôle universitaire du Pays de Montbéliard pour venir à la rencontre des étudiants. Ce sont deux rencontres qui sont organisées : la première pour les étudiants des masters en lien avec le numérique qui rencontrerons le professeur Gérard Berry du Collège de France.  Puis, une conférence ouverte à tous et en particulier aux étudiants du département MMI par Jacopo Baboni Shilingi qui traitera de l’art numérique et du corps humain.

Des acteurs importants

Ces conférences sont l’occasion pour les étudiants et leurs enseignants de venir confronter leurs savoir parfois fraichement acquis avec le discourt d’esprits éclairés perpétuellement en recherche et en action dans le champs du numérique. Au département MMI nous mesurons la chance qui nous ai offerte ! Mais si tout cela se passe ici, ce n’est pas non plus par hasard. Ce sont l’Université de Franche-Comté, l’IUT de Belfort Montbéliard et en particulier le Département Métiers du Multimédia et de l’Internet (MMI Montbéliard) qui sont reconnus comme des acteurs importants de la scène numérique et culturelle. Nous sommes reconnaissants et fiers de pouvoir participer à la diffusion et aux rencontres.

Un travail au long court

Au département MMI, comme dans les master du pole universitaire, nous sommes attentifs à former des spécialistes des métiers du numériques. Il faut qu’ils possèdent toutes les compétences nécessaires pour s’insérer facilement dans le milieu professionnel. C’est notre mission. Cependant, nous ne perdons pas de vue que dans ce secteur en perpétuelle évolution les connaissances sont une chose. mais qu’elles ne durent pas longtemps. Alors, il faut de l’ouverture d’esprit. Il faut de la curiosité. Il faut sans cesse s’interroger pour savoir quelles seront les technologies qui feront la différence ou les tendances graphiques qui seront “à la mode” ou plus prosaïquement comment les moteurs de recherche vont traiter votre contenu.

Pour faire cela, il n’y pas de secret ! pour avoir l’esprit ouvert et être curieux il faut être habitué à la découverte. Il faut avoir rencontré la différence pour savoir la reconnaitre. En MMI à Montbéliard, nous tentons de faire de la curiosité un outil de formation. Pour ce faire, nous emmenons les étudiants hors les murs pour rencontrer des artistes. Nous allons a l’étranger voir des lieux de culture : à Barcelone, au festival OFFF, en Suisse au Vitra Museum. Nous faisons entrer les artistes dans les murs : avec des conférences et des Modules d’Enseignement Libre.

Il y a même un enseignement dédié à la culture du Web où nous essayons de nous étonner de tout. Si vous lisez d’autres article sur cette plateforme, vous verrez les résultats de cette démarche. Ce sont les étudiants qui écrivent et partagent ce qui les passionnent et les étonnent ! N’hésitez pas à réagir et à vous étonner également.

Venir en MMI

Vous pouvez décider de venir en MMI pour la conférence ! Mais vous pouvez aussi choisir de venir en MMI pour apprendre les Métiers du Web. Dans ce cas là, venez nous voir aux portes ouvertes et déposez votre candidature sur parcoursup. Attention, il y a beaucoup de demandes et peu d’élus en 2017 plus de 700 candidatures reçues pour 70 places disponibles… Pour savoir comment utiliser parcoursup un site est en développement par des étudiants : monparcoursup.com

 

deux dates à retenir :

le 8 janvier 2018 à 18h00 dans l’amphithéâtre MMI à Montbéliard pour la conférence de Jacopo Baboni Schilingi.

Le 3 février les portes ouvertes du département MMI à Montbéliard

Befunky : concurrent gratuit de Photoshop

Befunky est un outil gratuit de retouche photo en ligne et un créateur de collage. Il a été créé en 2007 par Tekin Tatar avec l’aide de sa famille et ses amis. Ils ont été les pionniers de l’édition photo en ligne avec cet outil innovateur. À ce jour, les caractéristiques uniques de Befunky et l’innovation constante ont développés une communauté de plus de 25 millions d’utilisateurs dans le monde entier.

Le site se divise en 3 parties : éditeur photos / collages / concepteur. Chaque partie comporte des réglages prédéfinis qui peuvent être ajustés simplement.

Befunky, une concurrence rude

Cet outil facile d’utilisation entre directement en concurrence avec Photoshop.
Contrairement à Befunky, Photoshop est un logiciel de la suite Adobe payant et nécessitant à priori des connaissances pour retoucher des photos. La gratuité de cet éditeur de photos provient en partie de ses pubs, lesquelles sont présentes sur le site pour gagner un revenu.

Befunky possède beaucoup de fonctionnalités identiques à Photoshop sans avoir à chercher comment modifier ce que l’on souhaite. Les réglages sont rangés par catégories, et sont plus faciles d’utilisation. Quelques options sont néanmoins payantes, mais elles restent toujours mineures par rapport aux options de base.

L’ajout de nouveaux outils permet donc de maintenir l’éditeur à jour. La dernière en date : les modèles. Il est maintenant possible de sélectionner un modèle pour créer des images qui respectent un format particulier. Par exemple, le modèle « Business Card » permet de créer des cartes de visites à personnaliser en suivant des dimensions définies.

De plus, Befunky se rapproche également de plus en plus d’Illustrator avec son dernier outil mis en ligne récemment : le concepteur. Il devient plus polyvalent et offre un large choix d’outils. C’est pourquoi il devient un concurrent sérieux sur le marché des éditeurs graphique.

Adobe devrait-il se méfier de cet outil prenant de l’ampleur ?

Achats en ligne, reconnaître les sites non-fiables

De plus en plus de personnes effectuent leurs achats en ligne. Vêtements, jeux vidéo, applications,… Mais ce procédé est-il sécurisé sur n’importe quel site en ligne ? Nous allons essayer de dresser une liste non-exhaustive des moyens de différencier les bons sites d’achats en ligne des sites dangereux.
Internet, un moyen ludique, pratique et rapide pour effectuer ses achats mais gare aux arnaques !

Différencier un site d’achats en ligne sécurisé d’un site dangereux

De nombreux moyens sont bons pour vérifier la fiabilité d’un site Web concernant les achats en ligne. Nous allons vous donner quelques astuces assez simples pour que vous puissiez effectuer vos achats en toute sécurité !

En effet, il faut savoir que les sites Web ont des « conditions d’utilisation » à respecter et particulièrement les sites de ventes avec des « conditions générales de ventes ». Normalement situées en bas de page, elles donnent des renseignements concernant les prix, la livraison, la provenance des produits, etc… De même, le commerçant d’un site de vente en ligne doit faire figurer des mentions légales sur son site Internet. C’est une obligation en France, un site de vente n’en ayant pas est donc illégal.

Les sites fiables, en général, ont, au moment de la transaction, une URL qui commencent par ‘’https://’’, le “s” définissant que le paiement est sécurisé. Celle-ci est visible dans la barre d’adresse de votre navigateur. Un site affichant cette partie d’URL n’est pas forcément fiable, même s’il y a plus de chances. Au contraire, un site ne l’affichant pas est forcément à considérer comme non-fiable.

Les sites sérieux ne contiennent aucune faute de français. Ce qui veut dire qu’un site truffé de fautes ne mérite pas qu’on s’attarde dessus. Il faut également faire attention à la présentation du site. Lorsque des caractères utilisés sont non reconnus, que des textes débordent ou que des images sont très mal ajustées il est clair que le site n’est pas fiable.

Gare également aux sites proposant des réductions alléchantes ! Très souvent les sites non sérieux ont des réductions de 60% et ce n’est pas un hasard parce qu’avec ce système, ils descendent sous la barre des 50% de réduction, mais n’atteignent pas les 70% pour ne pas éveiller les soupçons.

Définition de “Achat en ligne” : http://www.ecommercemag.fr/Definitions-Glossaire/Achat-en-ligne-245282.htm#5xPkipgTAm6Oi1RL.97 

Influenceurs et marques : le nouveau vecteur de communication des réseaux sociaux.

De nos jours le marketing social est devenu très important. En effet les marques ont compris l’influences des blogueurs, youtubeurs, Instagrammers. Cela permet un partenariat gagnant/gagnant. Les marques augmentent leurs visibilités sur internet quant aux influenceurs, ils gagnent des produits mais aussi parfois une rémunération. Voici quelques renseignements sur la profession émergente d’influenceur, encore trop peu connue en France.

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