Native advertising : la publicité adaptée

Le native advertising désigne un type de publicités qui s’intègre parfaitement au contenu du site web, notamment grâce à sa forme, à son emplacement ainsi qu’au contenu proposé.

Le native advertising ou la publicité native, peut être extrêmement ressemblante au contenu proposé par le site.

Adblocking vs Native advertising

La publicité native a été beaucoup utilisée en 2016 pour lutter contre l’adblocking. L’adblocking, ou logiciel antipub, est utilisé pour supprimer les publicités en ligne sur les navigateurs web. En novembre 2016, 36% des internautes Français utilisent un bloqueur de pub : cela représente une augmentation de 20% depuis janvier 2016. Les internautes utilisent un adblocking pour éviter, principalement, l’installation de programmes malveillants et les publicités intrusives. Parmi ses utilisateurs, 77% accepteraient de visualiser un certain types de publicités et tolèrent le native advertising.

Une pratique ancienne

Mais le native advertising n’est pas une pratique nouvelle ! En effet, le premier article sponsorisé est paru en 1915 (Cadillac dans le Saturday Evening Post). De nos jours, les articles sponsorisés sont de plus en plus utilisé. Il est donc important de prévenir les internautes de ce type de post. De nos jours, la plupart des sites préviennent leurs publics. Il n’y a que 7% des sites qui ne mentionnent pas que leur article est sponsorisé.

Les utilisateurs acceptent de lire des articles sponsorisés si il est clairement indiqué que son contenu est sponsorisé.

 

En 2018, la publicité en ligne sera réglementée car de nos jours aucune réglementation n’est en place. Les annonceurs pourront mesurer l’efficacité de leurs publicités.

 

En effet, en 2015, la publicité native représentait 11% des revenus des médias. Le native advertising tend à se généraliser et pourrait atteindre d’ici 2018 25% des revenus des différents médias.

 

Le native advertising, est-ce que ça marche ?

OUI, les marques voient leurs trafics augmenter considérablement. Mais pas seulement ! Les utilisateurs passent plus de temps sur leurs sites, partagent le contenu ainsi que leurs ventes.

Le native advertising est donc très utile pour qu’un site gagne de l’argent sans surcharger le lecteur de publicité. Il peut également choisir le contenu de ces publicités.

Que fait le réseau social Facebook pour rester le numéro 1 ?

Durant l’année 2016, le réseau social Facebook a rassemblé 1,86 milliards d’utilisateurs actifs par mois environ. Le géant américain est déjà le réseau social le plus utilisé au monde devant Youtube, WeChat, Twitter, ou encore Snapchat. Pour maintenir son avance, Facebook ne cesse de se mettre à jour pour proposer à ses utilisateurs de nouvelles fonctionnalités. Certaines sont empruntées à ses concurrents, et d’autres utilisent des avancées technologiques comme la réalité virtuelle.

À quoi ressemble notre fil d’actualités sur le réseau social Facebook en 2017 ?

Impossible de rater l’apparition des Live Facebook et des vidéos à 360 degrés en 2016 ! Le 13 décembre 2016, la page Facebook de la chaîne National Geographic a été la première page à diffuser une vidéo à 360 degrés en direct. Facebook se place désormais devant Youtube dans la diffusion et la consommation de vidéos. Le réseau social prévoit de lancer la monétisation des vidéos, en proposant aux pages d’insérer des publicités mid-roll, qui se lanceront 20 secondes minimums après le début du visionnage.
Aussi, Marc Zuckerberg a officialisé le recrutement de Hugo Barra, « patron de la réalité virtuelle », le 25 janvier 2017. Tout laisse à penser que les vidéos, et plus spécifiquement les vidéos interactives, vont envahir vos fils d’actualités dans les prochains mois.

Parmi ces vidéos vous croiserez, de temps à autre, des statuts colorés. Déjà disponible sous Android, le réseau social Facebook devrait déployer cette fonctionnalité sur sa version iOS et sa version web. Ce nouveau format sera réservé aux statuts de moins de 130 caractères. Un joli mélange entre Twitter et Snapchat.
En plus d’être colorées, les informations données dans ces statuts auront plus de chance d’être fondées. En effet, le 31 janvier 2017, Facebook a annoncé une mise à jour de l’algorithme qui détermine les publications mises en avant dans notre fil d’actualité. Les pages qui publient des statuts considérés comme du spam et des contenus trompeurs seront moins visibles par les utilisateurs.

Si le réseau social Facebook évolue constamment, il peut compter sur sa plus fidèle alliée : l’application Facebook Messenger.

Facebook réseaux sociaux

L’application Facebook Messenger, l’arme fatale du réseau social

L’application de messagerie instantanée de Facebook, Facebook Messenger a bien évolué depuis son lancement en 2011. En effet, en plus des jeux, et des différentes possibilités de personnalisation, l’utilisateur possède maintenant un QR Code personnel et la possibilité d’envoyer des messages vidéos ou des photos à ses contacts sous le même modèle que Snapchat. Vous l’avez compris, lorsque Marc Zuckerberg ne peut pas racheter ses concurrents, comme il a pu le faire en 2012 avec Instagram, il préfère les imiter.

Après avoir séduit les particuliers, Facebook Messenger vise désormais les professionnels. En effet, des nouveautés ont été développées pour améliorer la relation client entre les utilisateurs et les pages de marques. Aux États-Unis, les Chat Bots ont déjà envahi l’application où le paiement en ligne est déjà possible. Ces fonctionnalités sont mises en place pour égaler le réseau social chinois WeChat en matière de service tout-en-un. En effet, grâce à l’intelligence artificielle des Chat Bots, les utilisateurs pourront commander une pizza ou réserver un taxi depuis Facebook Messenger.

Au vu de l’évolution de Facebook, on peut se demander jusqu’où ira le réseau social de Marc Zuckerberg ? Rappelez-vous que cet empire, pesant désormais plus de 50 milliards de dollars, est basé sur l’idée d’annuaire universitaire.

Web-séries, créations indépendantes devenues outils de marketing

Les web-séries c’est quoi ?

Apparues dans les années 90, les web-séries sont des fictions réalisées pour le web dans un format d’une dizaine de minutes, ces mini-séries étaient créées par des amateurs et diffusées dans un cercle de connaissance restreint ou lors d’événements dédiés à la culture geek.

Grâce à l’essor de YouTube, et avant lui de Dailymotion, ces séries amateurs se sont démocratisées atteignant un public plus large. Permettant alors à leurs auteurs de proposer une nouvelle vision du concept de série, mais également de nouveaux thèmes que l’on ne retrouve pas sur les chaines de télévision.

Leur modèle est accessible : d’un point de vue technique pour leurs auteurs, mais aussi pour leurs communautés. C’est ce qui a fait leur succès : plus d’une centaine de web-séries françaises sont créées par an. Les thèmes abordés sont très variés. La science-fiction et la fantasy ou même l’homosexualité. Tout est envisageable ! Et c’est possible car les réalisateurs n’ont pas de problèmes avec l’audience (cela leur permet d’explorer leurs idées sans crainte).

Les séries les plus connues en France, et qui restent aujourd’hui des incontournables lorsque l’on s’intéresse à ce sujet, sont “Le Visiteur du Futur“, réalisé par François Descraques. Et “Noob” crée par Fabien Fournier. Cette dernière détient par ailleurs le record d’Europe du financement participatif avec une somme totale de 681 046 €.

 

logo web-séries Noob

En quoi sont-elles un outils de marketing ?

Ces succès ont, depuis quelques années, attirés les grandes chaînes de télévision. S’intéressant au phénomène et proposant de soutenir leur création grâce à des plateformes ou des financements.

France 4, par exemple soutient un grand nombre de web-séries. La chaîne a même proposé une nuit entière de diffusion de celles-ci. Les grandes entreprises ont alors vite compris le potentiel de ce support. Des groupes comme Orange avec “le guichet” pour promouvoir Cineday, ou Oasis avec “l’effet Papayon”. On trouve ainsi de plus en plus de publicités dont la fin est à découvrir sur internet sous forme de mini-série.