Au cours de ces 2 dernières années, de nombreuses mesures ont été prises dans le cadre du déploiement du plan numérique dans les établissements du premier et second degré. Ces dernières permettront notamment de rattraper le retard français en termes d’e-Éducation.
Une École dite « connectée ».
Lancé en 2015 par notre président, le plan numérique a pour objectif principal d’améliorer la réussite des élèves par le biais des nouvelles technologies. Le domaine du numérique est un environnement dans lequel nous baignons au quotidien. Il est donc essentiel d’évoluer avec son temps et de s’adapter au mieux aux nouvelles pratiques pédagogiques.
L’an passé, près de 1700 établissements auraient été équipés de tablettes numériques. En outre, des ressources pédagogiques gratuites sont aussi mis à disposition des élèves. Ce renouvellement de programmes permet avant tout une nouvelle approche très intéressante de l’apprentissage. Ces méthodes d’enseignement innovantes offrent des capacités pédagogiques efficaces. De nombreux sondages portant sur l’usage de ces équipements affirment que les élèves sont plus concentrés et trouvent les cours plus intéressants. Cette manière plus ludique d’enseignement contribue ainsi à la modernisation du système éducatif en France.
De nouvelles formations pour les enseignants.
Les enseignants eux aussi sont concernés par l’usage des outils propres au numérique. Il est donc primordial qu’ils suivent des programmes de formation à la fois initiale et continue, pour transmettre la culture numérique. De nombreux dispositifs nationaux et académiques tels que M@gistere ou les MOOCs permettent de se former grâce aux modules fondés sur l’interactivité des contributions. De plus, des ressources pédagogiques ajustées aux usages du numérique ont été créés. Elles sont présentées sous différents aspects tels que des QCM, des cours en ligne, des conférences etc.
La stratégie du numérique ne cesse de s’accroitre d’année en année. Parfois controversée, l’entrée de l’École dans l’ère du numérique connait des limites. Qu’en est-il de ces dernières ?