Le Bitcoin, Une monnaie révolutionnaire ?

Tout au long de l’histoire, l’humanité a utilisé dans la plupart de ses transactions commerciales ce qu’on appelle la devise ou la monnaie physique, ceci jusqu’à l’année 2009 où un gars inconnu nommé « SATOSHI NAKAMOTO » a décidé de créer pour la première fois une monnaie virtuelle qui sera utilisée uniquement sur internet sans avoir d’aspect physique dans le monde réel. C’est le Bitcoin !

Huit ans maintenant depuis sa création, la valeur de bitcoin a été multiplié par 15 en 2017 pour atteindre des niveaux record en fin d’année (1 Bitcoin = +17,000$).

Pourquoi le Bitcoin ?

Une grande partie des internautes aujourd’hui préfère utiliser le bitcoin dans leurs transactions monétaires pour plusieurs raisons :

  • Il n’y a pas de médiation entre les concessionnaires, c’est-à-dire si un acteur souhaite transférer l’argent à un autre acteur, le transfert s’effectue directement sans l’intervention d’un tiers comme la banque centrale par exemple. Cette opération s’appelle Peer to Peer en informatique, qui rend le contrôle judiciaire sur une telle monnaie une tâche impossible, et les coûts supplémentaires de transmission ne seront pas appliqués sur de telles opérations.
  • L’utilisation du bitcoin élimine la conversion des devises entre les pays par exemple si un bien coûte 1 bitcoin au Etats-Unis il coûtera 1 bitcoin en Europe sans se soucier du taux de change entre le dollar et l’euro et vice versa.
  • La production du bitcoin n’est contrôlée par aucune entité bancaire ou judiciaire, et suit un système clair et strict dans sa création connu par tous les acteurs qui utilisent cette devise.
  • Le bitcoin ne peut être contrefait car le système qui gère cette monnaie virtuelle rend la contrefaçon ou le piratage informatique très difficile, par exemple, il est presque impossible qu’un internaute envoie à un autre une somme d’argent qui n’existe pas sur le système.

Qu’est ce que la Blockchain ?

Lorsqu’on parle du bitcoin on évoque souvent un concept un peu mystique, la blockchain qui permettrait de faire beaucoup de chose.

En permettant la distribution d’informations numériques mais non copiées, la technologie blockchain a créé le point de départ d’un nouveau type d’internet. Initialement conçu pour la monnaie numérique, Bitcoin.

Pour faire court on peut rassembler une Blockchain à un grand livre de comptes, se composant de plusieurs blocs (des milliers de blocs en fait…), chaque bloc décrit à peu près 2300 opérations d’achat et vente en bitcoin entre les commerçants, cette opération est décrite sous la forme « Le 01/08/2009 à 16h : Alice paie 250€ à Bob ». NB : 1 bloc = 1Mb.

La blockchain du bitcoin est publique tout le monde peut y accéder, vous pouvez même télécharger votre propre copie de la Blockchain en téléchargeant par exemple le logiciel officiel BitcoinCore, ou bien vous pouvez simplement la parcourir d’une façon plus visuelle et claire sur le site blockchain.info.

Enfin vous devez savoir que les opérations de transaction entre les internautes ne sont pas directement ajoutées dans la blockchain, il y’a des agents dédiés pour ça qu’on appelle les « Bitcoin Minners » qui prennent en charge la tâche d’inscrire des nouveaux blocs dans la blockchain, à chaque bloc nouvellement créé le Bitcoin-Minner reçoit des bitcoins nouvellement créés pour lui. Cette opération est la seule façon possible pour créer des nouveaux bitcoins.

La tâche d’ajout d’un nouveau bloc dans la blockchain n’est pas du tout facile comme vous pouvez l’imaginer, car pour ajouter un nouveau bloc, le bitcoin-minner doit trouver un code d’accès très complexe qui lui permettra d’inscrire les nouvelles opérations, cela nécessite la résolution de milliers d’algorithmes et d’opérations de calcul.

Alors, avez vous envie de plonger dans le monde du Bitcoin ?!

Vibrations fantômes des smartphones

Ne vous est-il jamais arrivé de de ressentir les vibrations de votre smartphone dans votre poche, alors qu’en réalité, vous n’avez aucun message ni appel ? Des recherches ont été effectuées par Larry Rosen, professeur de psychologie à l’Université de Californie et par Alex Blaszcynski, dirigeant de L’École de psychologie de l’Université de Sydney. Le résultat est sans appel, il s’agit de vibrations fantômes.

Mise en situation : vous êtes tranquillement allongé sur votre canapé quand soudain vous sentez des vibrations dans votre poche de pantalon. Vous décidez très rapidement de consulter votre smartphone, mais à votre grande surprise vous n’avez aucune nouvelle notification. Est-ce dans votre tête ? Est-ce votre téléphone ? Deux points de vue se confrontent. Mais rassurez-vous, 89% des sujets, disent avoir déjà ressenti des “vibrations fantômes”.

Les vibrations, synonyme de l’inconscient

Selon Larry Rosen, professeur de psychologie à l’Université de Californie, il s’agirait de vibrations externes au smartphone. En effet, nous sommes habitués à ressentir notre téléphone vibrer dans notre poche. C’est pour cela qu’apparemment nous associons toutes sortes de vibrations à notre smartphone. Le frottement d’un pantalon, le pied d’une chaise traînant sur le sol… Ainsi,  selon le professeur de psychologie, nous serions sans cesse entrain d’anticiper un appel. 

Votre corps est-il impliqué ?

Selon Alex Blaszcynski, dirigeant de l’École de psychologie de l’Université de Sydney, il s’agirait de signaux électriques parcourant le corps qui seraient interprétés par le cerveau. De ce fait, notre corps ne serait plus habitué à recevoir ces signaux sans explication. C’est pour cela qu’immédiatement, notre cerveau trouve une interprétation. Mais alors peut-on parler d’une maladie ?

Pourquoi il ne s’agit pas d’une maladie

La chercheuse de l’IUPU de Fort Wayne aux Etats-Unis, Michelle Drouin, apporte quelques précisions sur ce phénomène de “vibrations fantômes”. Selon ses études, il ne s’agirait pas d’une maladie ou même d’un syndrome car cela nous ne fait en aucun cas souffrir où nous handicape. Michelle Drouin parle plus de mauvaises habitudes.

Une science simple et pour tous à porté de clic

La science, c’est que pour les grosses têtes ?

Aujourd’hui, l’Internet est devenu un formidable outil de partage et de communication. En quelques clics, tout le monde peut partager ses centres d’intérêts, son avis, ses créations ou ses connaissances grâce à diverses plateformes, comme les réseaux sociaux ou les blogs. Et la science n’échappe pas à la règle.

L’Internet regorge donc de contenu de toutes sortes, de la vidéo de chatons trop mignons aux articles de loi ultra complets et complexes, en passant par des théories en tout genre. Dans cet article, nous allons nous intéresser à un type en particulier de contenu, la vulgarisation scientifique.

La vulgarisation scientifique, qu’est ce que c’est ? Pour faire simple, c’est justement simplifier la science. C’est rendre accessible le savoir, ses limites et ses incertitudes au plus grand nombre.

Vouloir comprendre le monde qui nous entoure est dans la nature humaine. Depuis toujours, l’homme craint l’inconnu et veut combler les mystères de l’univers. Et plus nous en découvrons, plus il en reste à découvrir. Les sciences sont donc un domaine passionnant, mais aussi souvent très complexe. Pour beaucoup, cela devient même une corvée, assimilées aux ennuyeux cours de SVT du lycée. Pour d’autres, c’est un domaine réservé à une élite de vieux chercheurs et leurs livres poussiéreux (les livres, pas les chercheurs).

 

La science pour tous sur le web.

Pourtant, grâce à la liberté qu’offre le web, certains amateurs et passionnés se sont lancés le défi de changer cette vision rébarbative, en vulgarisant les thèmes qui leur tenaient à cœur.

On observe en effet de plus en plus de sites, d’articles ou vidéos souhaitant rendre la science accessible à tous. Leur souverain incontesté est bien sûr Wikipédia, mais on trouve également beaucoup de contenus ludiques, voir humoristiques, que ce soit sur des blogs ou des chaines Youtube.

Par exemple, vous savez que la somme de tous les entiers positifs est égale à -1/12 ? Mickaël Launay l’explique très bien sur sa chaine Youtube MicMaths (https://www.youtube.com/channel/UC4PasDd25MXqlXBogBw9CAg). Étonnant non ? Non ?

Ok, les maths, ça vous donnent de l’urticaire, votre truc, c’est plutôt la physique et les mystères de l’univers ? Vous vous demandez par exemple comment les scientifiques en sont arrivés à l’hypothèse du Big Bang ? Un petit tour sur le Blog Science étonnante vous mettra sur la voie (https://sciencetonnante.wordpress.com). Mais pour ça il faut d’abord comprendre un peu la théorie de la relativité générale d’Einstein. Pas de problème, rendez-vous sur la chaine Youtube E-penser (https://www.youtube.com/channel/UCcziTK2NKeWtWQ6kB5tmQ8Q), pour comprendre la théorie d’Einstein et bien d’autres choses.

Même les grandes institutions et entreprises scientifiques jouent le jeu, comme la Nasa, qui a par exemple créé un site pour publier les actualités autour du Télescope Spatial Hubble. On y trouve aussi ses plus beaux clichés de notre univers (http://hubblesite.org).

La science n’est donc plus un domaine rébarbatif, réservé aux initiés. Si vous aimez comprendre ce qui vous entoure, découvrir des choses que vous ne soupçonniez pas, l’Internet va devenir votre meilleur ami.

MMI et la Saison Numérique #2 du département du doubs

Du 8 janvier au 17 janvier 2018 le département du Doubs organise la deuxième saison numérique SN#2 dans le cadre de C@P25. De la danse, de la musique, du théâtre, partout dans le Doubs : Montbéliard, Besançon, Morteau, beaucoup d’autres et jusque dans les villages et même au département MMI.

La saison numérique est l’occasion de diffusion, de rencontre et d’échange à destination du publique en général mais aussi de publiques particuliers. Ainsi la saison numérique passera par le pôle universitaire du Pays de Montbéliard pour venir à la rencontre des étudiants. Ce sont deux rencontres qui sont organisées : la première pour les étudiants des masters en lien avec le numérique qui rencontrerons le professeur Gérard Berry du Collège de France.  Puis, une conférence ouverte à tous et en particulier aux étudiants du département MMI par Jacopo Baboni Shilingi qui traitera de l’art numérique et du corps humain.

Des acteurs importants

Ces conférences sont l’occasion pour les étudiants et leurs enseignants de venir confronter leurs savoir parfois fraichement acquis avec le discourt d’esprits éclairés perpétuellement en recherche et en action dans le champs du numérique. Au département MMI nous mesurons la chance qui nous ai offerte ! Mais si tout cela se passe ici, ce n’est pas non plus par hasard. Ce sont l’Université de Franche-Comté, l’IUT de Belfort Montbéliard et en particulier le Département Métiers du Multimédia et de l’Internet (MMI Montbéliard) qui sont reconnus comme des acteurs importants de la scène numérique et culturelle. Nous sommes reconnaissants et fiers de pouvoir participer à la diffusion et aux rencontres.

Un travail au long court

Au département MMI, comme dans les master du pole universitaire, nous sommes attentifs à former des spécialistes des métiers du numériques. Il faut qu’ils possèdent toutes les compétences nécessaires pour s’insérer facilement dans le milieu professionnel. C’est notre mission. Cependant, nous ne perdons pas de vue que dans ce secteur en perpétuelle évolution les connaissances sont une chose. mais qu’elles ne durent pas longtemps. Alors, il faut de l’ouverture d’esprit. Il faut de la curiosité. Il faut sans cesse s’interroger pour savoir quelles seront les technologies qui feront la différence ou les tendances graphiques qui seront “à la mode” ou plus prosaïquement comment les moteurs de recherche vont traiter votre contenu.

Pour faire cela, il n’y pas de secret ! pour avoir l’esprit ouvert et être curieux il faut être habitué à la découverte. Il faut avoir rencontré la différence pour savoir la reconnaitre. En MMI à Montbéliard, nous tentons de faire de la curiosité un outil de formation. Pour ce faire, nous emmenons les étudiants hors les murs pour rencontrer des artistes. Nous allons a l’étranger voir des lieux de culture : à Barcelone, au festival OFFF, en Suisse au Vitra Museum. Nous faisons entrer les artistes dans les murs : avec des conférences et des Modules d’Enseignement Libre.

Il y a même un enseignement dédié à la culture du Web où nous essayons de nous étonner de tout. Si vous lisez d’autres article sur cette plateforme, vous verrez les résultats de cette démarche. Ce sont les étudiants qui écrivent et partagent ce qui les passionnent et les étonnent ! N’hésitez pas à réagir et à vous étonner également.

Venir en MMI

Vous pouvez décider de venir en MMI pour la conférence ! Mais vous pouvez aussi choisir de venir en MMI pour apprendre les Métiers du Web. Dans ce cas là, venez nous voir aux portes ouvertes et déposez votre candidature sur parcoursup. Attention, il y a beaucoup de demandes et peu d’élus en 2017 plus de 700 candidatures reçues pour 70 places disponibles… Pour savoir comment utiliser parcoursup un site est en développement par des étudiants : monparcoursup.com

 

deux dates à retenir :

le 8 janvier 2018 à 18h00 dans l’amphithéâtre MMI à Montbéliard pour la conférence de Jacopo Baboni Schilingi.

Le 3 février les portes ouvertes du département MMI à Montbéliard

Befunky : concurrent gratuit de Photoshop

Befunky est un outil gratuit de retouche photo en ligne et un créateur de collage. Il a été créé en 2007 par Tekin Tatar avec l’aide de sa famille et ses amis. Ils ont été les pionniers de l’édition photo en ligne avec cet outil innovateur. À ce jour, les caractéristiques uniques de Befunky et l’innovation constante ont développés une communauté de plus de 25 millions d’utilisateurs dans le monde entier.

Le site se divise en 3 parties : éditeur photos / collages / concepteur. Chaque partie comporte des réglages prédéfinis qui peuvent être ajustés simplement.

Befunky, une concurrence rude

Cet outil facile d’utilisation entre directement en concurrence avec Photoshop.
Contrairement à Befunky, Photoshop est un logiciel de la suite Adobe payant et nécessitant à priori des connaissances pour retoucher des photos. La gratuité de cet éditeur de photos provient en partie de ses pubs, lesquelles sont présentes sur le site pour gagner un revenu.

Befunky possède beaucoup de fonctionnalités identiques à Photoshop sans avoir à chercher comment modifier ce que l’on souhaite. Les réglages sont rangés par catégories, et sont plus faciles d’utilisation. Quelques options sont néanmoins payantes, mais elles restent toujours mineures par rapport aux options de base.

L’ajout de nouveaux outils permet donc de maintenir l’éditeur à jour. La dernière en date : les modèles. Il est maintenant possible de sélectionner un modèle pour créer des images qui respectent un format particulier. Par exemple, le modèle « Business Card » permet de créer des cartes de visites à personnaliser en suivant des dimensions définies.

De plus, Befunky se rapproche également de plus en plus d’Illustrator avec son dernier outil mis en ligne récemment : le concepteur. Il devient plus polyvalent et offre un large choix d’outils. C’est pourquoi il devient un concurrent sérieux sur le marché des éditeurs graphique.

Adobe devrait-il se méfier de cet outil prenant de l’ampleur ?

5 conseils pour une page produit efficace

panier
panier

Dans le dur monde du e-commerce, les premières impressions sont très importantes. Une page produit de qualité peut faire la différence entre un panier abandonné et une vente réussie!

Il y a plus de 65% de taux d’abandon de l’achat sur les sites e-commerce. Il est donc crucial de mettre toutes les chances de son côté, grâce à ces 5 conseils :

     1. Une image vaut mieux que mille mots.

Quand on achète un produit en ligne, il est important d’avoir une idée claire de l’apparence du produit. C’est pourquoi des images de haute qualité sur la page produit sont indispensables. Notez le pluriel, car il est impératif d’avoir plusieurs images! En effet, des angles différents permettent d’avoir une vision plus globale et de mieux s’imaginer le produit.
Mais, assurez vous de ne pas utiliser des images trop lourdes non plus, car dans ce cas, la page produit va mettre beaucoup de temps à se charger. Ce qui est le meilleur moyen de faire fuir vos clients!

     2. Ne pas sous estimer la description produit.

Et oui, la description du produit est très importante. C’est le moyen de convaincre votre client. Afin de mieux le persuader, il vaux mieux user d’un ton qui correspond à votre audience. Votre but est : d’informer, susciter l’intérêt et convertir! Soyez original! Ce site en ligne par exemple propose une description peu conforme qui projette l’acheteur en possession du produit, en hésitant pas à le romantiser.

Même si écrire un long paragraphe permet d’inclure tous les mots clés nécessaire au SEO, un long texte décourage souvent l’acheteur. Donc, essayez de ne pas dépasser les 100 mots, et proposez ensuite un bouton en savoir plus.

      3. Garder l’essentiel

Le design minimaliste est très adapté au e-commerce. C’est simple, clair, concis et agréable à regarder.  Une page encombrée n’offre pas une expérience utilisateur agréable et ne facilite pas le shopping. Posez-vous la question de la nécessité de certains éléments. Si vous n’en avez pas besoin, enlevez-le. Less is more! Donc, n’ayez pas peur des espaces blancs, qui permettent de mettre en valeur vos produits.

     4. La visibilité du Call to Action

Après les visuels du produit, l’élément le plus visible de la page produit doit être le bouton call to action.  Dites à vos clients ce qu’ils doivent faire, ils vous remercieront.  Ce n’est pas le moment d’être original. Les acheteurs s’attendent à un bouton “ajouter au panier” ou “acheter”. Il n’y a pas d’intérêt à essayer de les surprendre, mais simplement à leur faciliter la tâche donc, restez convenu. Pour mettre votre bouton call to action en évidence, essayez de lui donner une couleur franche. N’oubliez pas d’utiliser une typographie claire et un texte sans ambiguïté.

     5. Offrez les frais de port

Les acheteurs en ligne détestent les surprises. Les frais de port inattendus qui s’ajoutent à la facture à la fin du tunnel de paiement laissent un goût amer dans la bouche de vos clients… Et c’est la plupart du temps la raison pour laquelle le paiement est abandonné. Mais, les frais de port offerts? C’est la cerise sur le gâteau! 

Bien sûr, les frais de port coûtent de l’argent. Pour éviter cela, n’offrez pas vraiment les frais de port, mais incluez les dans le prix de vos produits.  En effet, que préférez vous acheter? Une veste à 50€ ou une veste à 35€ + 15€ de frais de port? 

 

Vos pages produits ont le potentiel de détruire ou de faire la réussite de votre site de vente en ligne. En définitive, le meilleur moyen de vendre est d’améliorer l’expérience utilisateur. Alors, bon courage et bonne page produit!

Cybercensure, un frein à la liberté d’expression sur le Web

La cybercensure est la restriction d’information sur internet, une pratique principalement utilisé par les gouvernements.

 

cyber censure
cyber censure

Certains gouvernements font régulièrement parler d’eux à ce sujet, mais les états font tous pour cacher ce type de pratique. En effet, d’après la Déclaration universelle des droits de l’homme, l’accès à l’information est un droit indéniable, et par conséquent les États ne devraient pas avoir la possibilité de réguler Internet au sein de leur frontière. Mais cette cybercensure gouvernementale concerne quels pays exactement ? Et quelle en sont les objectifs?

 

La cybercensure en France

En fait, une grande majorité des pays régule le web, plus ou moins modérément. Cela dépend de la politique mise en place à le sujet. À première vue, la France (qui est un pays démocratique) ne semble pas subir ce type de censure. Mais forcement d’un point de vue interne, on ne se rend pas compte du niveau d’accessibilité. Néanmoins, il semble que de nombreux contenus soient indisponibles. Notamment les sites liés au nazisme ou à l’holocauste bloqués en France et en Allemagne. De la même façon les contenus pédopornographies sont bloqués dans la plupart des pays dans le monde. La censure en France semble donc intervenir pour des raisons de bienséance.

Néanmoins, la France est listée par l’organisme Reporters Sans Frontières, parmi les 14 pays sous surveillances, aux côtés des Emirats Arabes Unis, du Kazakhstan, de la Russie, de la Tunisie. Reporters Sans Frontière reproche à la France son attachement à la protection des droits d’auteur. Ils disent à ce sujet: « La France ne doit pas sacrifier la liberté d’expression en ligne et la neutralité du Net à la tentation sécuritaire ou à la protection du droit d’auteur ». Mais la censure faite en France reste minimale, comparé à d’autres pays, comme notamment en Chine.

 

cybercensure

La cybercensure en Chine

La censure d’Internet en Chine est parmi les plus restrictives au monde. Ils ont développé l’un des systèmes de censure des plus perfectionnés au monde: la Grande muraille électronique. Le gouvernement bloque l’accès à de nombreux sites et notamment des réseaux sociaux. En plus de cette restriction les particuliers et les entreprises ont l’obligation de louer leur bande passante à l’État chinois. Ainsi il surveille et vérifie toutes les informations internes au pays. Le président chinois s’est justifié sur cette cybercensure extrême, il dit: «À l’image du monde réel, la liberté et l’ordre sont tous deux nécessaires dans le cyberespace: la liberté est la finalité de l’ordre et l’ordre est la garantie de la liberté». Il justifie donc cela comme une nécessité pour jouir d’une certaine liberté. La Chine n’est pas le seul pays à exercer ce type de restriction. Reporters Sans Frontières à lister 12 États comme Ennemis d’internet.

 

En conclusion, le sujet est complexe, doit-on inciter les gouvernements à rester neutre et faciliter un libre accès au Web, ou au contraire est-il dans notre intérêt de restreindre l’accès à l’information pour protéger nos données personnelles et lutter contre des cyberattarck ou encore contre le terrorisme? À mon avis, je pense que de façon modéré la censure est indispensable, tant qu’elle n’est pas impulsée par une influence politique, idéologie et ou même commerciale. L’objectif doit rester la protection de la population, néanmoins certains jouent sur cette limite et évoque cette sureté de l’État pour justifier une extrême cybercensure.

Droit d’auteur, argent, mensonges nous vous dirons tout.


Commençons tout d’abord par parler du “Content ID” de Google concernant le droit d’auteur. C’est un outil aide les titulaires de droits d’auteur à identifier et à gérer leur contenu sur YouTube. Les vidéos publiés sur YouTube sont comparées à une base de données de fichiers fournis par les propriétaires de contenu.

Oui le droit d’auteur mais non

Cela semble être une bonne initiative, mais ce Content ID peut aussi être défini comme cela : “Ce système aboutit en place d’une police privée du droit d’auteur, s’exerçant en dehors du contrôle de la justice et dérivant graduellement vers un système de censure aveugle.”

C’est tout de suite moins sympa.

Certes ce système permet à des robots de détecter plus facilement du contenu dupliqué et reuploadé sur le web. Prenons l’exemple des films entiers sur YouTube. Warner n’aura pas à embaucher des personnes devant chercher à longueur de journée les Harry Potter pour signaler les utilisateurs monétisant la vidéo. Ils pourront décider de s’en approprier les revenus ou de supprimer le contenu.

Mais d’un autre côté un robots ne fait pas dans la dentelle. Cela pose un tout autre problème pour les parodies originales découlant du droit à la caricature. Article L122-5 du Code de la Propriété intellectuelle. Pour lui la parodie ça n’existe pas. On ne peut pas utiliser 5 secondes du film Avengers dans une vidéo originale de 40 minutes pour illustrer ses propos. Cela donne le droit à Disney de s’en approprier tous les droits de publication et de monétisation.

Un système juridique aux petits oignons

Il est possible de contester la décision du Content ID et de gérer ce litige en ligne. Sous la forme d’un procès nous trouverons d’un côté le créateur de la vidéo, de l’autre Disney et l’affaire sera jugée par DISNEY… Du point de vue objectivité nous repasserons.

Créateurs de contenu hors la loi

Selon cette logique tout personne créant du contenu justifiant un caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information de l’oeuvre peut se faire sanctionner pour viole de la propriété intellectuelle, théoriquement 3 ans d’emprisonnement et 300.000€ d’amende.
Evidemment nous n’en sommes pas encore arrivé à ce genre de situation car nous sommes protégé par la culture du web. Utiliser des œuvres pour les analyser ou les transformer fait parti de l’ADN d’internet. Mais pour combien de temps…

Que sont les UI et UX design et à quoi servent-ils ?

Pour commencer, UI signifie « User Interface », tandis que UX design figure « User eXperience ». Ce sont différents éléments de la conception web pensés en fonction des besoins et attentes de l’utilisateur lors de sa navigation.

Maquette de site web prenant en compte le UX design

Distinction UI/UX

Le design d’interface (UI) est un élément constituant l’expérience utilisateur. En effet, il fait partie de la stratégie globale du UX, en amont d’une conception web. Le UI est une couche superficielle du UX design, cependant cela ne le rend pas moins indispensable à celui-ci.
Le UI constitue l’organisation des éléments graphiques et textuels d’un site web, pour qu’il soit clair et attrayant. Il se fonde sur des normes esthétiques et techniques. Les détails pris en compte sont nombreux : couleurs, polices, agencement. Par conséquent, il est important de le travailler, mais insuffisant pour un UX design satisfaisant.

Définition de UX design

Le UX design prend en compte les utilisateurs dès la conception web pour répondre efficacement à leurs besoins et attentes. Il fait le rapprochement entre le résultat et le ressenti de l’internaute.
Son objectif est d’optimiser la navigation pour que l’usager atteigne facilement son but et concrétise son action (recherche et partage d’informations, achat) dans un environnement agréable, fluide et rassurant.
À l’origine, le UX design était fait intuitivement. Aujourd’hui il est une véritable science enseignée dans les écoles de design, parce que considéré comme stratégique, voire obligatoire.
Cependant, il ne faut jamais dissocier le but de l’utilisateur (UX) et le but du site, ils doivent être travaillés parallèlement. Les deux ont un impact significatif sur le taux de conversion des internautes.

Besoins de l’utilisateur

La prise en charge de l’expérience utilisateur dès la conception se constitue de plusieurs éléments, intégrant chacun le UI :

Accessibilité : le site doit être supporté par différents terminaux, systèmes et navigateurs. Il doit également être lu par les logiciels utilisés pour les handicaps auditif et visuel. C’est ce qu’on appelle le responsive webdesign.

Cohérence : le site web doit représenter la marque et ses valeurs. Les utilisateurs arrivant sur la page d’accueil doivent être rassurés et convaincus, ce qui favorisera leur adhésion et prolongera leur visite.

Efficacité : l’internaute doit trouver aisément ce qu’il est venu chercher sur le site, sans perdre de temps. Les visites ne doivent se prolonger ou se multiplier que par envie de l’utilisateur.

Esthétique : il faut de l’harmonie et de l’ergonomie dans le design et le graphisme. Plus l’ensemble est attractif, plus l’usager aura confiance.

Intuitivité : l’internaute doit se repérer facilement dans l’architecture d’informations. La navigation hypertexte et celle des menus doivent être simplifiées.

Visibilité : enfin, un travail de référencement naturel (SEO) est indispensable pour que le site soit vu. Il se remarque par exemple dans la bonne intégration des médias sociaux, le choix du nom de domaine, etc.

Compatibilité entre navigateurs et versions : jusqu’où est-il encore nécessaire d’aller?

Le plus loin possible diront probablement ceux qui n’ont jamais toucher à l’intégration. La compatibilité entre navigateurs est un vrai casse-tête. Et soyons honnête, personne n’a envie de rajouter des lignes de code pour que Chrome, Firefox, Safari ou Internet Explorer affichent enfin le contenu de la même façon.

 

De nouveaux outils mais…

Depuis quelles années, de nouvelles technologies ont commencé à enlever bon nombre d’épines des pieds de nos chers intégrateurs. Il faut dire qu’ils s’arrachaient parfois les cheveux ne serait-ce qu’à afficher sur un navigateur récent les maquettes des web designers.

Problème : la compatibilité des ces nouveaux outils avec d’anciens navigateurs, et même encore les actuels est souvent assez hasardeuse. Ils obligent à rajouter des dizaines voir des centaines de lignes au code pour être interprétés correctement par les navigateurs.

En effet, les anciens navigateurs ont tendance à afficher les pages avec des différences importantes, même si elles sont codées dans les normes.

Il est possible de résoudre les problèmes de compatibilité, mais cela demande beaucoup d’effort et de temps. Cela a donc un coût, qui, il faut le dire, n’est pas toujours justifié pour le nombre d’utilisateurs.

 

Compatibilité entre navigateurs, des difficultés majeures

La principale bête noire des intégrateurs et développeurs, c’est Internet Explorer. À cause de sa popularité et de son faible taux d’adoption des mises à jours (qui rappelons le se font manuellement), il reste un bon nombre d’utilisateurs sous IE7 et 8. Et c’est sans parler de ceux utilisant encore la version 6. Les parts de marché du navigateur phare de Microsoft sont en chute libre face à l’arrivée d’autres navigateurs plus respectueux des standards comme Mozilla Firefox et surtout Chrome. Mais leur diversité fait de la compatibilité entre navigateurs et leurs différentes versions est un atout indispensable.

Cependant, rien ne sert de traquer les infimes divergences. Un visiteur lambda utilise un navigateur unique et ne remarquera pas ces petites différences. Il faut donc coder pour que la mise en page globale et l’esprit graphique restent les mêmes.

Il existe différentes techniques pour simplifier l’optimisation sur tous les navigateurs : dégradation élégante, utilisation du jQuery ou de frameworks. Mais à moins d’avoir un budget illimité, il n’est désormais plus possible de réaliser un site compatible avec tous les navigateurs et types d’appareils. Plusieurs grandes entreprises comme Google et Facebook ont déjà donné la direction à suivre en abandonnant purement et simplement le support d’IE6.

 

Mais alors, on fait quoi ?

Le choix des technologies utilisées doit être pensé en fonction de différents facteurs. Technique, marketing et durée de vie du site Internet, mais également en sélectionnant les navigateurs principalement utilisés par la cible.

De nombreux facteurs entre en jeu et aujourd’hui, les points les plus important à considérer sont :

  • le responsive, garantissant le confort d’utilisation des tablettes et smartphone,
  • l’abandon du support IE7 pour économiser des heures de développement et profiter de technologies modernes et sécurisées,
  • inviter les internautes à mettre à jour les navigateurs obsolètes vers des versions sécurisées, pour les sites d’e-commerce principalement.

Avec ces informations en main, il ne reste plus qu’à tester, tester et encore tester. D’où l’existence d’outils tels que HTML5please et Can I use, qui vous simplifieront certainement la tâche.

Bien sûr certains se contenteront, non sans un certain humour, d’inviter les visiteurs possédant des navigateurs trop anciens à en changer parce qu’Internet Explorer, c’est quand même bien dépassé.

 

Sources :

http://www.alsacreations.com/actu/lire/505-compatibilite-navigateur-et-prise-de-tete.html
http://www.adviso.ca/blog/2012/02/16/compatibilite-navigateurs-ie6-ie7-ie8/
https://www.iwebyou.fr/actualites/compatibilite-des-navigateurs/
http://www.blogduwebdesign.com/integration-html5/comment-faire-un-site-compatible-pour-tous-les-navigateurs/1016